Triumph Speed Triple

Je ne sais pas trop où mettre ça, alors comme j'ai envie de vous montrer ce que je sais faire avec les mots, je vous présente une petite histoire...

J'ai eu le temps de visiter Notre Dame en 2017, l'hôpital où j'avais RV était juste à côté...

La construction, de Notre Dame, a duré plusieurs siècles.
Et l'organisation y était très particulière.
L'Abbé Tonière et le Père Forateur étaient les maitres d'oeuvre puis, le Père Pendiculaire vérifiait derrière que tout était d'équerre. Le Père Sonnage était préposé à la fonderie des cloches.

Le Père Colateur et l'Abbé Chamel avaient pour mission de nourrir tous les occupants et ouvriers du chantier, grâce entre autres aux légumes cultivés avec soin par l'Abbé Trave et le Père Si.
L'Abbe Donant pouvait témoigner de la qualité de la cuisine !

L'Abbé Gonia voulait mettre des fleurs partout, mais le chantier prit une telle ampleur qu'il y renonça rapidement.
Le Père Formant s'occupait d'instruire les nouveaux ouvriers et le Père Cutané à les soigner...
Le Père Fusion a tenté les premières interventions chirurgicales...
Il y avait beaucoup d'accidents... Mais pas autant que ne l'avait prédit l'Abbé Résina.
Quand le moral était au plus bas, le Père Cutant savait remotiver les troupes. Surtout quand le Père Pétuité disait que le chantier n'en finirait jamais.
Le Père Septeur, quant à lui, n'hésitait pas à parcourir le pays pour trouver des "dons" pour aider à la construction de cette merveille architecturale.
Au moins à cette époque les impôts servaient à quelque chose...
Mais on se demande encore si le Père Fide n'a pas été plus efficace dans la collecte de "dons"...
C'est comme Kennedy, je pense qu'on ne saura jamais la vérité...

Comme il y avait beaucoup de vol de matériaux sur le chantier, le Père Iscope avait mandaté le Père Imètre pour faire surveiller les alentours, ce dernier rendant ses comptes au Père Roquet qui répétait tout...

L'Abbé Taille et l'Abbé Cane étaient en charge de construire une étable, mais l'Abbé Cane, visionnaire, préférait un garage.
Finalement, le Père Mis s'y opposa et le projet fut abandonné.

On a entendu beaucoup de rumeurs et de contre vérités sur la construction de Notre Dame, mais le Père Tinant a démasqué et condamné les coupables... L'Abbé Tise et le Père Vers...
Le Père Plexe fut stupéfait de la trahison de ses amis.

Enfin quand la Cathédrale put enfin accueillir les premiers fidèles, le Père Itel propagea la bonne nouvelle aussi vite qu'il put !

Voilà. Vous connaissez maintenant toute l'Histoire de la construction de Notre Dame de Paris.

Excellent belle maîtrise des mots

Pour connaître la vérité concernant Kennedy il faudrait demander à l'Abbé Décauchon ou au Père Midechasse

l'Hémophile bien sur ces quelques lignes

Ppendant que l'abbé Nédictine donnait le salut, l'abbé Quille est tombé dans les bras du père Iscope. Jugez de la stupéfaction générale. Tous les révérents Pères pleuraient, en particulier le père Clus, qui, en perdant l'abbé Quille, perdait son seul soutien. Un seul était joyeux : le père Fide. Quant à l'abbé Tise, il n'y comprenait rien.
On alla chercher le père Manganate et le père Itoine, les deux médecins de l'abbaye. Ils essayèrent de ranimer le malheureux, mais tous leurs efforts furent vains.

Le lendemain furent donc célébrées les funérailles. Chacun fut appellé à l'abbaye par les cloches de ce célèbre monastère, tirées par le père Sonnage. La messe fut dite par l'abbé Canne sur un musique de l'abbé Thoven et de l'abbé Rlioz. Le père Hoquet fut chargé du sermon, et comme il n'y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du père Choir. Le père Cepteur fit la quête.

A la fin de la messe, une grande discussion s'éleva au sujet du chemin à prendre : l'abbé Trave et l'abbé Casse ainsi que le père Dreau voulaient passer à travers champs, mais l'abbé Canne et le père Clus s'y opposaient fermement. le père Plexe hésitait... Le père San, avec sa tête de turc, ne voulait rien entendre. les deux pères Huques s'arrachaient les cheveux. Le père Vers et le père Nicieux, d'accord avec le père Fide, semaient le doute dans les esprits. Le père Spective regardait au loin. Enfin, comme le père Il était grand, chacun se rallia à son opinion.

Au cimetière, devant la tombe creusée par la père Forateur, en l'abscence du père Missionnaire, le père Pétuel et le père Manent firent un discours sur l'éternité. Le père Venche et l'abbé Gonia fleurirent le tombe pendant que l'abbé Rébasque se découvrait. On recouvrit la fosse avec une pierre tombale préparée par l'abbé Tonneuse.

Sur le chemin du retour, le spectacle était déchirant. Le père Pendiculaire était courbé par la douleur ; l'abbé Nitier était plein de larmes ; le père Igourdin, frère du père Igord et l'abbé Harnais, neveu de l'abbé Harn fermaient le marche. En chemin, le père Du fut retrouvé. A l'arrivée au couvent, le père Cil et l'abbé Quée préparèrent le repas. L'abbé Chamel fit la sauce. Le père Nod et l'abbé Nédictine servirent à boire, tandis que le père Colateur préparait le café. Chacun put alors se remettre de ses émotions.

Une enquete du Père Spicace indiquerait que l'abbé Quille aurait été poussé par le père Icolososporgersi ..

C'est bien gentil vos trucs ecclésiastiques, mais moi je préfère les contes de Perrault, vous savez, celui avec la fée Lation...

elzedo a écrit : ↑01 juil. 2021 09:48 Ppendant que l'abbé Nédictine donnait le salut, l'abbé Quille est tombé dans les bras du père Iscope. Jugez de la stupéfaction générale. Tous les révérents Pères pleuraient, en particulier le père Clus, qui, en perdant l'abbé Quille, perdait son seul soutien. Un seul était joyeux : le père Fide. Quant à l'abbé Tise, il n'y comprenait rien.
On alla chercher le père Manganate et le père Itoine, les deux médecins de l'abbaye. Ils essayèrent de ranimer le malheureux, mais tous leurs efforts furent vains.

Le lendemain furent donc célébrées les funérailles. Chacun fut appellé à l'abbaye par les cloches de ce célèbre monastère, tirées par le père Sonnage. La messe fut dite par l'abbé Canne sur un musique de l'abbé Thoven et de l'abbé Rlioz. Le père Hoquet fut chargé du sermon, et comme il n'y avait pas de chaire, il monta sur les épaules du père Choir. Le père Cepteur fit la quête.

A la fin de la messe, une grande discussion s'éleva au sujet du chemin à prendre : l'abbé Trave et l'abbé Casse ainsi que le père Dreau voulaient passer à travers champs, mais l'abbé Canne et le père Clus s'y opposaient fermement. le père Plexe hésitait... Le père San, avec sa tête de turc, ne voulait rien entendre. les deux pères Huques s'arrachaient les cheveux. Le père Vers et le père Nicieux, d'accord avec le père Fide, semaient le doute dans les esprits. Le père Spective regardait au loin. Enfin, comme le père Il était grand, chacun se rallia à son opinion.

Au cimetière, devant la tombe creusée par la père Forateur, en l'abscence du père Missionnaire, le père Pétuel et le père Manent firent un discours sur l'éternité. Le père Venche et l'abbé Gonia fleurirent le tombe pendant que l'abbé Rébasque se découvrait. On recouvrit la fosse avec une pierre tombale préparée par l'abbé Tonneuse.

Sur le chemin du retour, le spectacle était déchirant. Le père Pendiculaire était courbé par la douleur ; l'abbé Nitier était plein de larmes ; le père Igourdin, frère du père Igord et l'abbé Harnais, neveu de l'abbé Harn fermaient le marche. En chemin, le père Du fut retrouvé. A l'arrivée au couvent, le père Cil et l'abbé Quée préparèrent le repas. L'abbé Chamel fit la sauce. Le père Nod et l'abbé Nédictine servirent à boire, tandis que le père Colateur préparait le café. Chacun put alors se remettre de ses émotions.

Génial !
Bravo ! J'ai adoré !!

Juan-Lewis a écrit : ↑01 juil. 2021 12:11 C'est bien gentil vos trucs ecclésiastiques, mais moi je préfère les contes de Perrault, vous savez, celui avec la fée Lation...

Je ne suis pas sûre qu'elle soit de Perrault celle ci.

Espèce de père vert !