jimmy1050 a écrit :...
là, tu fais l'unanimité
mais quel boulot! d'abord, ça devra être bilingue
et vu le degré ahurissant de sophistication de Arcim dans le rode-bouquingue

...bon courage!!
mais comme t'es expert maintenant

on compte sur toi!

Yo jimmy
Un grand moment que celui-là!
Accoler sophistiqué avec Google Map/Earth qu'est à la GPS attitude ce que Mc Do est à la diététique c'est beau sisisisisi.
Bref
On se bastonne, à la souris, vite-fait, un premier jet dans l'interface Web GMap.
Pour récupérer la pauvre Weberie GMap faut injecter par un tout petit trou bien étroit (la barre d'adresse du navigateur) plusieurs centaines de lignes de javascript.
Y-a un félé qui s'est dévoué à cette noble tâche et qui maintient son code au fil des releases de GMap.
Ayé on a un truc lisible dans GEarth sur son bureau.
Là, théoriquement l'utilisateur d'ifoufoune a déjà décroché, l'oeil chassieux.
Avec GEarth on vérifie que la route choisie existe et est carossable.
-Dans le 44 c'est déjà pas toujours le cas et dans les Alpes liguriennes on frôle le surréaliste.
Faut donc remoudre le machin en fichier .kml.
Le dit .kml se lit et s'affiche, avec des gags parfois, sur GMap Web.
Pour partager avec les copains c'est pratique et nif car, comme le Mc Do, GMap y-a partout et c'est raisonnablement propre et bien fréquenté. On peut même le consulter avec fesse-de-bique. En plus street-view permet d'exploser, à l'aise, son forfait data.
-" pasBoust ... on est du mauvais côté de l'overpass..." (c) un de nos fils promu navigateur sur Androide en approche de Newark.
Le hic c'est qu'on est sur la voie médiane et qu'il y a 4 files à 55 mph à droite et à gauche.
Bon, armé du .kml on visualise avec GMap et on corrige les erreurs hélas inévitables.
Ce qui signifie un autre va-et-vient par GEarth.
Là y-en a un qui se réveille et qui insiste un crochet par l'auberge "Au coup de fusil" qu'est tout près.
***Tout près*** notion cartographique, hélas difficilement transposable ou racontable sur le terrain.
Sophistiqué n'est pas exactement le terme qui viendra naturellement à l'esprit à ce moment là.
Par contre une fois l'effort validé, on arrive, frais comme un gardon, avec une confortable avance sur les potes en hypersportive, tétanisés par un détour de 50 bornes et une fixation malsaine sur le voyant de réserve, qu'ont cru que l'indication: "à gauche toute" c'était une cour de ferme.
Version moto "Un c*n qui marche va toujours plus loin qu'un intellectuel assis"
